Localisation actuelle : Musée royal de Turin. Ms. Varia 85.
Date / écriture : 1505. Italien, écriture spéculaire caractéristique de Léonard.
Dimensions/extension : 213x154mm. 38 pages.
Édition mondiale, unique et limitée à 500 exemplaires, numérotés et authentifiés par un notaire.
Illustrations : toutes les pages comportent une multitude de croquis à la plume dans les grandes marges des pages.
Étui : identique à l’original, en cuir brun avec un blason gaufré en or à l’extérieur.
Accompagné d’un volume d’étude du Dr Elisa Ruiz. Comprend la transcription en italien et la traduction en espagnol.
Ce trésor contenant les pensées de l’un des plus grands génies de l’histoire, Léonard de Vinci, est un exemple de la multitude de disciplines qu’il connaissait : l’anatomie, la physique, l’optique, la mécanique, l’hydraulique et l’architecture, entre autres. Les idées de Léonard de Vinci sur le vol, conçues il y a plus de 500 ans, sont décisives pour l’aéronautique dans le monde d’aujourd’hui.
Alors qu’il peignait la Joconde, il a conçu l’idée d’un traité sur le vol et a rédigé un aide-mémoire pour diviser ses observations sur les oiseaux en quatre livres. Le premier concerne la manière de voler en battant des ailes ; le deuxième, le vol sans battre des ailes sous le vent ; le troisième, ce qu’il y a de commun entre le vol des oiseaux, des chauves-souris, des poissons volants et des insectes ; le quatrième et dernier, le mouvement du vol à partir d’un mécanisme.
L’obsession de Léonard de comprendre le vol et de l’imiter dans une machine qui permettrait à l’homme de voler est évidente dans ce codex sur le vol des oiseaux écrit en 1505. Il se compose de 38 pages de 154×213 mm, toutes couvertes de texte dans l’écriture spéculaire caractéristique de Léonard, et comprend une multitude d’esquisses à la plume dans les grandes marges. Il se concentre sur trois sujets distincts mais étroitement liés : comment les oiseaux volent, les principes généraux de l’aérodynamique et le type de machine qui rendrait le vol humain possible. Provenant de la Bibliothèque royale de Turin, le Codex est daté de 1505-1506, soit près de 400 ans avant le vol des frères Wright (1903).
Deux de ses découvertes, le mouvement fluide de l’air sur l’aile d’un oiseau et la différence entre le centre de gravité et le centre de pression d’un oiseau, ont été des découvertes extraordinaires qui ont anticipé certains des principes fondamentaux de l’aéronautique moderne. Cet article a eu une telle influence sur l’étude de l’aviation qu’une copie numérique a été envoyée sur Mars par la sonde Curiosity qui s’est posée sur la planète rouge en août 2012.
Léonard a poursuivi ses observations en soulignant les différences entre les composants flexibles des ailes de l’oiseau, les plumes, et les composants rigides, les os. Léonard a également noté l’importance des conditions atmosphériques et d’autres facteurs aérodynamiques, c’est pourquoi il a décidé de se concentrer sur des machines qui aideraient l’homme à glisser dans les courants d’air, et il en a donc créé une qui ressemblait à un grand oiseau de proie. Certaines de ses réflexions ont même pris la forme d’un manuel de vol : “si l’aile et la queue sont au-dessus du vent, la moitié inférieure de l’aile opposée recevra la force du vent et se redressera”. Parmi ses manuscrits, on trouve des études et des croquis de deltaplane et d’hélicoptère.
Les pages du codex sur le vol des oiseaux contiennent également de nombreuses insertions inattendues, comme l’étude anatomique d’une jambe ou le dessin du visage d’un homme sous les lignes de texte. L’identité de ce visage est restée secrète pendant plus de 500 ans. En 2009, des analystes numériques ont réussi à séparer le dessin du texte et ont permis de montrer l’image de l’autoportrait de Léonard à l’âge de 50 ans. Pour Léonard, l’art est le fondement de l’ingénierie, et l’ingénierie est une expression de l’art. L’artiste qui a peint La Joconde et La Cène était un visionnaire de la Renaissance qui a vu le monde moderne avant qu’il ne soit réalisé.
Cela expliquerait également le jugement que François Ier, roi de France, a exprimé en 1542 sur les connaissances scientifiques de Léonard, rapporté par Cellini : “Je ne voudrais pas manquer de répéter les paroles que j’ai entendu le roi dire à son sujet, paroles qui m’ont été adressées en présence du cardinal de Ferrare et du cardinal de Lorraine et du roi de Navarre ; il a dit qu’il ne croyait pas qu’il y ait un autre homme au monde qui ait autant de connaissances que Léonard, non pas tant comme sculpteur, peintre ou architecte, mais comme un philosophe extraordinaire”.
BILL GATES A ACQUIS LE CODEX MARTEAU DE LEONARD POUR LA SOMME ASTRONOMIQUE DE 30 802 500 DOLLARS CHEZ SOTHEBY’S NEW YORK
Le prix des manuscrits de Léonard de Vinci bat tous les records : Bill Gates a acheté le Codex Leicester ou Hammer de 36 pages de Léonard de Vinci en 1994 pour la somme astronomique de 30 802 500 dollars chez Sotheby’s New York.
Patrimonio Ediciones est la seule entreprise au monde à utiliser de l’or fin et des pierres précieuses authentiques. C’est pourquoi nous sommes également les seuls à l’avoir fait certifier par un notaire au moyen d’une analyse en laboratoire.
LE VRAI CODE DA VINCI. L’ŒUVRE PARFAITE
Nous avons le plaisir de vous informer que les musées les plus importants du monde, à l’occasion du 5ème CENTENAIRE DE LEONARDO, ont choisi Patrimonio Ediciones pour rendre hommage à ce génie universel, en coéditant et en reproduisant fidèlement ses codex et ses chefs-d’œuvre. Il s’agit de la première et unique édition limitée en fac-similé, dont les exemplaires sont numérotés et authentifiés par un notaire, qui contient les quatre œuvres les plus célèbres de Léonard, jamais reproduites en fac-similé intégral